Si vous ne savez pas ce qu’est le créole-bass c’est normal, parce que ça n’existe pas. Disons qu’en écoutant le premier morceau de Dowdelin, on pense à la Martinique, d’où vient la chanteuse et leur inspiration, mais aussi aux musiques électroniques hybrides et remuantes. Créole-bass, donc.
Ce Laissé Mwen est d’ailleurs chanté en créole martiniquais, ce qui n’est vraiment pas si commun de nos jours, encore moins avec ce style de musique. Et pas pour nous déplaire, du coup, vu à quel point on associe trop souvent le chant en créole à l’affreux zouk moderne et ses dérivés finis à la pisse de tipunch.
Alors on va suivre avec intérêt la suite de Dowdelin, le nouveau projet de Dawatile avec la chanteuse Olyvia et le musicien Raphaël Philibert.